• Daniel Balavoine-Sauver l'amour

    Daniel Balavoine est un auteur-compositeur-interprète français né le 5 février 1952 à Alençon (Orne) et mort dans un accident d'hélicoptère le 14 janvier 1986 à Gourma-Rharous (Mali) en marge du Paris-Dakar.

    Porté par sa voix de « cristal », il connut le succès en 1978 avec son titre Le Chanteur et son rôle de Johnny Rockfort dans l'opéra rock Starmania. Il est aussi célèbre pour ses prises de position médiatiques et ses engagements humanitaires.

    Grand faiseur de tubes, il est l'un des artistes francophones les plus populaires. Revendiquant son influence anglo-saxonne (adorant entre autres Peter Gabriel) et sa passion pour la recherche sonore, il évoluera tout au long des années 1980 vers une pop (new wave) techniquement très élaborée, dont il fut l'un des pionniers en France.

     

    ma zik du vendredi soir .J'avais 20 ans a l'époque, j'ai eu un coup de foudre pour ce chanteur,il avait tant d'idées, sa générosité, sa sincérité, sa sensibilité. Il disait tout haut ce que les gens pensaient tout bas. Je me rappel d'un face a face avec Mitterrand, au diantre il ne machait pas ses mots ,une scene que j'ai toujours en mémoire , c'etait un combattant, un défenseur des pauvres, encore aujourd'hui, ce qu'il disait raisonne dans nos tetes !! lors de sa mort , je me suis posé une question, est ce que sa mort a etait un accident, ou un assassinat !! un peu comme Coluche ( des personnes qui déranges ). Il etait sur le Paris Dakar, pas pour faire de la figuration, ou du tape a l'oeil, mais pour faire de l'humanitaire !!

     Mort trop jeune Monsieur Balavoine !!


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  • Le drapeau de l'Algérie est utilisé depuis la guerre d'indépendance.

    Le drapeau de la République algérienne démocratique et populaire est constitué d'un rectangle vert et blanc, frappé d’une étoile et d’un croissant rouges.

    Les deux bandes de couleur représentent, pour la verte, la prospérité et la terre, ainsi que la couleur du paradis dans l'Islam ; la bande blanche représente la pureté et la paix. Le croissant et l'étoile rouge sont des symboles musulmans. Le croissant représente le chemin que doit parcourir le musulman durant sa vie pour espérer accéder au Paradis, et l'étoile représente les cinq piliers de l'islam ; la couleur rouge représente le sang des martyrs.

    D'après la signification officielle : conçu en avril 1945, à la suite d'une synthèse des étendards de l'Empire ottoman, de l'Émirat d'Algérie, lui même repris de celui d'Al-Andalus, ainsi que de l'écusson de l'Étoile nord-africaine (ENA). Il est adopté le 3 avril 1962 par le gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA), et officialisé par la loi du 25 avril 1963.

    La longueur du rectangle est égale à une fois et demie sa largeur, le rectangle est divisé selon la petite médiane en deux moitiés: la moitié de couleur verte est placée à l’intérieur contre la hampe, alors que la moitié de couleur blanche est placée à l’extérieur.

    L’étoile est à cinq branches, elle est inscrite dans un cercle dont le rayon est égal au huitième de la hauteur du drapeau. Elle se détache entièrement sur le fond blanc du drapeau, deux pointes sont sur la petite médiane du rectangle et une pointe sur la grande médiane.

    Le rayon du cercle extérieur du croissant est égal au quart de la hauteur du drapeau. Le rayon du cercle intérieur du croissant est égal au cinquième de la hauteur du drapeau. Les deux pointes du croissant délimitent un grand arc égal aux cinq sixièmes de la circonférence du cercle extérieur.

    Hymme algerien

    Kassaman a été adopté comme hymne national par l'Algérie peu après son indépendance, en 1963. Ses paroles ont été écrites par le poète nationaliste Moufdi Zakaria le 25 avril 1955 alors qu'il était dans la prison Barberousse à Alger.

    La musique est l'œuvre de l'égyptien Mohamed Fawzi. L'hymne a été joué pour la première fois en 1957.

    La première composition musicale de l'hymne national algérien est écrite par l'algérien Mohamed Touri, à Alger. Cette composition n'étant pas jugée satisfaisante, on demande alors au tunisien Mohamed Triki de composer la musique, avec l'aide d'une chorale algérienne à Tunis. Son résultat n'ayant lui aussi pas été retenu, on demande finalement à Mohamed Fawzi, compositeur égyptien, d'écrire la partition musicale de l'hymne. Cette dernière composition reste, aujourd'hui, la musique de l'hymne algérien.

    Traduction française (Nous Jurons !)

     Nous jurons ! par les tempêtes dévastatrices abattues sur nous
    Par le sang pur généreusement versé
    Par les éclatants étendards flottants au vent
    Sur les cimes altières de nos fières montagnes
    Que nous nous sommes dressés pour la vie et la mort
    Car Nous avons décidé que l'Algérie vivra
    Soyez–en témoins! Soyez–en témoins! Soyez–en témoins!

     

    Nous sommes des combattants pour le triomphe du droit
    Pour notre indépendance, nous sommes entrés en guerre
    Nul ne prêtant oreilles à nos revendications
    Nous les avons scandées au rythme des canons
    Et martelées à la cadence des mitrailleuses
    Car Nous avons décidé que l'Algérie vivra
    Soyez–en témoins! Soyez–en témoins! Soyez–en témoins!

     

    Ô France ! le temps des palabres est révolu
    Nous l'avons clos comme on ferme un livre
    Ô France ! voici venu le jour où il te faut rendre des comptes
    Prépare toi ! voici notre réponse
    Le verdict, Notre Révolution le rendra
    Car Nous avons décidé que l'Algérie vivra
    Soyez–en témoins! Soyez–en témoins! Soyez–en témoins!

     

    Nos Braves formeront les bataillons
    Nos Dépouilles seront la rançon de notre gloire
    Et nos vies celles de notre immortalité
    Nous lèverons bien haut notre Drapeau au-dessus de nos têtes
    Front de Libération Nous t'avons juré fidélité
    Car Nous avons décidé que l'Algérie vivra
    Soyez–en témoins! Soyez–en témoins! Soyez–en témoins!

     

    Des Champs de bataille monte l'appel de la Patrie
    Écoutez le et obtempérez !
    Écrivez-le avec le sang des Martyrs !
    et enseignez-le aux générations à venir !
    Ô Gloire ! Vers toi Nous tendons la main !
    Car Nous avons décidé que l'Algérie vivra
    Soyez–en témoins! Soyez–en témoins! Soyez–en témoins!

    Montagnes enneigées de Kabylie

    L'équipe d'Algérie de football est constituée par une sélection des meilleurs joueurs algériens sous l'égide de la fédération algérienne de football.

    Surnommés les Fennecs (les renards du Sahara), elle se qualifie aux Coupes du monde de football de 1982, 1986 et 2010 et remporte la Coupe d'Afrique des Nations en 1990 en tant que pays hôte (finaliste de la CAN en 1980, 3e en 1984 et 1988 et enfin 4e en 1982 et 2010).

    Pour la troisième fois de son histoire, l'Algérie s'est qualifié pour une phase finale de Coupe du monde de football (qui a lieu en Afrique du Sud en 2010) aux dépens de l'Égypte lors d'un match d'appui qui s'est déroulé à Khartoum au Soudan, le 18 novembre 2009 d'un score de 1-0.

     


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  • Statue d'Hercule avec son fils Telephus dans les jardins de Versailles

    Symbolisme Héraclès

    Dans la mythologie grecque, Héraclès est la personnification du courage et de la force physique ; il constitue l’une des figures les plus populaires de la culture occidentale. Ses célèbres "douze travaux" paraissent à la fois surgir du mythe et de la saga héroïque : divers éléments nous laissent à penser que son histoire s’inspire d’une figure historique aujourd’hui oubliée. En effet, beaucoup de ses épreuves présentent de grandes ressemblances avec certains mythes d’autres pays de l’est de la Méditerranée, on pense notamment à l’épopée sumérienne de Gilgamesh mettant en scène un héros qui, comme Héraclès, tuait un lion et descendait dans le monde des morts. Dans la Grèce antique, Héraclès est le protecteur du peuple et le gardien des cités ; son culte va se répandre dans toute la Méditerranée et notamment chez les romains où, sous le pseudonyme d’Hercule, il acquiert une grande importance.

    Le succès d’Héraclès est dû très certainement à la nature de ses dons, à savoir sa vigueur physique et sa grande capacité copulative. A cette puissance physique s’ajoutent plusieurs vertus morales comme sa soif de justice ou son goût pour les aventures. Cependant, Héraclès est avant toute chose un personnage profondément déchiré : en tant que fils de Zeus, il tend à la sublimation spirituelle, mais, repoussé par Héra dès le berceau, il souffre de ce manque d’affection que seule la déesse saurait combler ; de là surgit son dramatique déséquilibre psychologique. Héraclès est ainsi écartelé entre sa vocation céleste et ses malheureuses rechutes qui le conduisent aux actions les plus vulgaires ou aux meurtres les plus atroces : c’est peut-être aussi grâce à cette dualité que le héros révèle toute sa grandeur.

    Les douze travaux ont été considérés par l’humaniste italien Andrea Alciati (1492-1550) comme des symboles de réalités aussi diverses que le mépris envers les médiocres, l’éternité de la vertu ou la force de l’éloquence. Mais avant toute chose, les travaux convertissent Héraclès en symbole de la libération individuelle et de la quête de l’immortalité à travers l’expiation de ses péchés. C’est dans la douleur et grâce à son "effort héroïque" que Héraclès parvient à vaincre, à exterminer ou à dominer tous les monstres (symboles de fléaux, de vices ou de forces du mal) qui croisent son chemin. Suivant les ordres d’Eurysthée, Héraclès enchaîne les épreuves les unes après les autres et il ne peut pas commencer un nouveau travail sans avoir accomplit le précédent ; ainsi, selon les mots de Paul Diel, le héros progresse à l’intérieur d’un processus ordonné de lutte progressive en évolution.
    C’est pour ces différentes raisons que les alchimistes du Moyen-âge interprètent le mythe d’Héraclès comme la figuration du combat spirituel qui mène à la conquête des pommes d’or du jardin des Hespérides, autrement dit à l’immortalité. Dans un autre point de vue, une exégèse chrétienne a associé les douze travaux à des "épreuves de l’âme" dans le chemin de la perfection et par extension, on identifie le Christ à une espèce de "Hercule chrétien", or il est évident que le héros ne propose rien aux hommes qui ne soit comparable au message du messie et sa mort ne vaut que pour lui-même et non pas pour l’humanité toute entière.

    Nombreux de ses travaux ont souvent été associés à certains rites de l’Antiquité pré- hellénistique : ainsi le combat contre un taureau ou contre un homme déguisé en taureau serait l’une des épreuves destinées aux jeunes aspirants crétois. Toujours est-il que le héros accomplit, lui, chacune de ses épreuves au péril de sa vie armé d’une simple massue (moins un symbole de victoire que d’écrasement ou d’anéantissement) et vêtu, tel un vagabond, d’une peau de lion, animal à fort caractère solaire chez les peuples anciens.

    Hercules aidant Atlas à supporter le globe terrestre , Statue à Merion Port (Portmeirion), Pays de Galles


    En allant encore plus loin dans l’interprétation, Pierre Piobb a identifié les douze travaux d’Héraclès avec les douze signes du zodiaque, ce qui confirmerait le caractère solaire du héros. A chaque signe zodiacal correspondrait différents symboles des travaux d’Héraclès :

        * Au bélier correspondrait la victoire sur les géants comme Géryon ou Cacus,

        * Le signe du taureau, symboliserait le taureau de Crète,

        * Les gémeaux évoqueraient autant les colonnes d’Héraclès que les relations du héros avec Eurysthée,

        * Le cancer, à la fois l’hydre de Lerne et les oiseaux du lac Stymphale,

        * Le lion représenterait le lion de Némée,

        * Le signe de la vierge, les amazones,

        * La balance, les murailles de Troie et les écuries d’Augias,

        * Le scorpion s’associerait au sanglier d’Erymanthe,

        * Le sagittaire aux centaures et aux juments de Diomède,

        * Le capricorne représenterait la biche de Cérynie,

        * Le signe du verseau symboliserait Prométhée et son aigle,

        * Enfin le poisson évoquerait le monstre marin d’Hésione.

    Quoi qu’il en soit, la signification exacte des travaux d’Héraclès est aujourd’hui difficile à établir et malgré les innombrables tentatives d’interprétations, force est de constater que nous ne savons plus grand chose des mythes en général, et celui d’Héraclès en particulier ; il y a déjà plusieurs siècles que nous avons perdu notre conscience mythique et que nous étudions la mythologie uniquement sous la perspective logique et méthodique de la science moderne.

    Héraclès est le héros de toute la Grèce antique et son tempérament inconstant ne lui a pas toujours été favorable : on a voulu voir en lui une brute épaisse dénuée d’intelligence, à la fois ivrogne et glouton. Toujours est-il que les grecs lui ont voué de nombreux cultes tous plus sincères les uns que les autres car il reste avant toute chose un personnage très populaire qui nous a laissé bon nombre d’expressions comme un "cerbère", "les écuries d’Augias", "des travaux d’Hercule", "une force herculéenne"…Très souvent associé à la force physique, Héraclès dévoile pourtant bon nombre de ses faiblesses tout au long de sa vie, à l’exception des douze travaux où il apparaît véritablement invincible. Sa vie se résume à une errance perpétuelle dénuée de valeur pédagogique car le héros ne paraît pas apprendre grand chose de ses trop nombreuses erreurs…

    Eternel exilé, il évoque dans ses voyages la conquête de la Méditerranée que les marins grecs disputent aux phéniciens ; c’est d’ailleurs par la fondation des fameux comptoirs commerciaux que se diffuse l’image du héros. Cependant même si Héraclès est le visiteur du monde, il défriche le terrain des futures fondations plus qu’il ne fonde des cités. Bien qu'il ne se préoccupe guère de conserver ses conquêtes territoriales, il n’en reste pas moins le bâtisseur de villes comme Barcelone, Séville, Cadix, Ségovie ou Florence…


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  • Photos prise a l'instant !!! pour vos yeux, moi c'est déja fait !!


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  • Quelques photos de ma petite virée sur Briançon aujourd'hui, bien qu'il y ai du soleil le thermomètre avoisine les -6 degrés.
    Bien couvert cela reste agréable, ciel bleu azur et soleil a volonté.
    Les paysages sont magnifiques, il me semble bien qu'il y en a plus de neige que l'année derniere a la meme époque déja cinquante centimetres a Briançon ! 
    Je partage avec vous, mes plus fideles lecteurs, ces photos de Montagne recouvert de neige !
     


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